Vum egenen Affekot gebicht. Dans les griffes de son propre avocat .

Vum egenen Affekot gebischt.

Kuerzen Appercu vun 2 konnexen Fait‘en.

1. Eng Immobiliengeschicht.

1990 hun ech zesummen mad menger Ex-Fra en neid Haus kaaft voller Fehler.

1991 hun mir de Constructeur op d‘Gericht gehol mam Affekot C.W.

1996 si mir gescheed gin nodeem vierdrun d‘Haus mad deckem Verloscht verkaaft gin war.

Vun Unfank un wor ersichtlech, dass meng Ex-Fra an ech, Jidderen plus ou moins 22.000 € gengen als Schuedenersatz kréien. D‘Urteel gouf 2006 och esou gesprach. Mir sollten 22.000 € op de Kapp kréien. Duerno bis Mött 2011 hun ech regelmässeg beim C.W. nogefrot op d‘Geld nach net do wier. Ech krud nie eng Äntwert op dös schröftlech Nofro.

An der Töschenzait sin ech awer vum Constructeur gewuer gin, dass hien schon 1998 den Haaptdeel vum Geld un den C.W. iwerwisen hat. Den Affekot C.W. hued eng schwéier Faute gemach. Hien hued önnerlos eis dest Geld direkt ausbezuehlen. Hien hued ed önnerschloen an eis keen Bescheed iwer den Empfang vun dem Geld gin.

Erecht nodem ech am Juni 2011 Plainte gèint den C.W. beim Procureur Général gemach hun, as hien mad dem Geld erausgereckt. Op meng Plainte as bis Haut nach naischt erfollegt.

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2. Zeien vun engem Verkéiersakzident.

1993 fueren ech gemitlech iwer eng Landstroos. E gewössen Moment kommen 2 Motocyclisten mir entgéint an ech gesin am Reckspiegel dass déi Béid an enger Kéier vun der Stroos ofkomm an am Besch geland sin. Ed war zu kengem Kontakt Auto/Moto komm.

Wéi ed sech gehéiert bleiwen ech stoen, leschten Höllef a ruffen Ambulanz an Gendarmerie.

1995 sicht Een vun den blesséierten Motocyclisten (als Dank fier meng Höllef) mech an meng Assurance un a freed héigen Schuedenersatz, am Fall wou ech schölleg gesprach gien wir.

Ech selwer hu jo dobai net en Eenzejen Euro riskéiert. D‘Partie adverse had naischt an der Hand a meng Autosassurance hat hieren eegenen a gudden Affekot. Ech hun mir op Uroden vum C.W. hien selwer als Affekot geholl, awer nömmen am Kader vum Rechtschutz / Autosassurance (3750 €) an fier net gestroft ze gin. Eigentlech häd ech guer keen Affekot gebraucht, well jo d‘Assurance hieren Eegenen hat.

Ech huelen un (darf ed net Hei behapten) dass den C.W. elo schon de Viersatz hat, mech öm méi Geld an der eschter Affär ze brengen.

D‘Gericht hued selbstverständlech am Prozess an am Appel  d‘Klo vun der Géigenpartei mangels Beweisen ofgewisen. Eng „Affaire bidon“ vir all Affekot.

Den C.W. freed (Hien hat just en Mandat bis 3.750 €) en astronomeschen Honoraire vun 28,528,98 € an deser simple „affaire de circulation“. Önner Drock an Erpressung hued hien bis elo 13.750 € krit.

Hien hued mech Ufank döses Joers virun d‘Référésgericht gehol an de Rescht vum Honoraire ageklod. D‘Richterin hued dem C.W. no öffentlecher Setzung an engem Urteel seng Requête ofgewisen an seng ordonnance de payement annulléiert.

Den C.W. as net an Appel gangen. Hien hued mech wösse gelos et net derbai ze lossen. Hien geng elo virun dad grousst Gericht goen.

Affaire à suivre.

********************************************************************************Chers lecteurs de cette page.

Quelques fois dans notre vie nous nous retrouvons dans des situations qui demandent des décisions  spontanées. Une victime, soit d‘un accident ou d‘une agression, a besoin de votre aide. Nous n‘avons pas le temps de réfléchir longtemps et selon nos devoirs civiques et notre conscience nous devons entrer en action immédiatement.

Mais, soyez en garde!  Votre devoir et votre bonté peuvent se retourner contre vous.

Une telle action de bonne foie a bouleversé toute ma vie. Depuis 1993  je me retrouve entre les griffes d‘un avocat avide d’argent et sans scrupules. Ainsi je suis devenu moi-même victime.

Ma voiture américaine et ma page web constituent pour moi le moyen approprié de faire part à un grand public de cette affaire hautement injuste et des agissements d’un avocat.

Je vous prie de prendre le temps nécessaire pour lire l‘article ci-dessous qui relate exactement le déroulement des faits. Tout ce qui est décrit est bien fondé et prouvé par des pièces rendues au tribunal.

Dans l’audience publique extraordinaire des référés au Tribunal d’Arrondissement et par jugement du 26.10.2012 Me C.W. a été débouté de l’intégralité de sa demande totale d’honoraires de € 28.528,98 et l’ordonnance  conditionnelle de paiement a été annulée.

Me C.W. avait encore la possibilité d’interjeter appel dans les quinze jours suivant la signification du jugement.

Il m’a fait savoir qu’il n’interjetterai pas appel et il est de l’avis que le juge des référés qui a siégé était un juge  malveillant à son égard.

Cependant il m’a fait savoir que l’affaire sera continuée de nouveau à fond au tribunal civil.

Ma santé est encore mise à rude épreuve face à cet avocat qui essaie de s’enrichir d’une manière que j’estime frauduleuse.

Merci pour votre temps précieux et l’intérêt que vous apportez au récit qui suit.

Salutations

R.S.

Base des faits et détails.

En juin 1993 je circulais sur une route nationale lorsque deux motocyclistes me croisaient en sens inverse. Soudainement et dans un virage les motocyclistes perdaient le contrôle de leur machines, dépassaient un talus et entraient en collision avec des arbres. Tandis qu’un des motocyclistes se blessa légèrement, l‘autre fut très grièvement blessé.

A la suite de l‘accident j‘arrêtais ma voiture, je donnais une première aide et j‘alertais les services de secours. J‘ai assisté la Gendarmerie,  arrivée sur les lieux, en déposant mon témoignage.

Deux ans plus tard, en juin 1995, à la requête d’un des motocyclistes accidentés,  j‘ai été assigné devant le tribunal civil.  Le motocycliste demanda une compensation, la somme de 743.863,00 €  ( 30.000.000 LUF ) de mon assurance. Heureusement, il y avait un cycliste sur le lieu de l‘accident qui a témoigné en ma faveure.

Mon calvaire commença maintenant, non pas en tant que prévenu, mais en tant que client de mon avocat Me C.W. tenant sa propre étude à Luxembourg-Merl près du conservatoire de musique.

Après réception de l‘assignation en justice je n‘avais d‘abord, manque de moyens  financiers et du risque presque nul d‘une condamnation, pas l‘intention de me faire représenter par un avocat. Il faut savoir que dans le cas d‘une condamnation ma compagnie d’assurance aurait dédommagé la partie adversaire.

Ainsi je demandais conseil à Me  C.W. qui me proposait de le saisir point de vue pénal de cette affaire.  Mais ceci uniquement dans le cadre de ma protection juridique automobile.

Ma situation privée et financière très délicate.

Me C.W. savait très bien, que je me trouvais dans cette époque financièrement dans une situation très faible, lisez délicate. Au moment de la requête j‘étais en instance de séparation et de divorce. Notre maison familiale construite en 1991, était pleine de malfaçons et risquait d‘être vendue à grosse perte, ce qui se produisait ainsi.  Après paiement du  crédit sur notre maison et versement d‘une pension alimentaire mensuelle à mon ex-épouse il ne me restait que très peu de moyens d‘existence. Du jour au lendemain, je me trouvais vraiment à la rue. En manque de moyens j‘étais obligé de loger pendant une longue période dans un petit studio  meublé.

Me C.W. ne pourra pas nier cette connaissance des faits, car à l‘époque, en tant qu’ami de ma famille, il était très bien informé sur  notre situation générale et financière.

Me C.W. s‘occupait depuis 1991 de notre requête contre le constructeur de notre maison malfaconnée. Il était ainsi bien informé que notre maison avait été vendue à grosse perte.

J‘ai  informé ensuite ma compagnie d‘assurances automobile qui me proposait „dans le cadre de ma protection juridique automobile“ de me faire représenter par un avocat, juste au cas où.

La compagnie d‘assurances m‘informait qu’elle avait son propre avocat  Me X pour la défense de leurs propres intérêts. (Dédommagement demandé de 30.000.000 LUF)  Après élimination du dommage demandé par la partie adverse, restait alors que le côté pénal pour Me C.W.

Convention très précise.

Ainsi j‘ai mandaté Me C.W. de la défense de mes intérêts qui étaient que ceux de ne pas être condamné pénalement, car le cas échéant, je risquais de descendre au barème Bonus/Malus. J‘expliquais à Me C.W., qu‘au point de vue honoraires il devait se tenir exclusivement à la compagnie d‘assurance et que je ne serai pas d‘accord de débourser  quoi que ce soit. Cette explication présentait  pour moi une convention très précise, celle à ne pas monter au-dessus du plafond de ma police d‘assurance.

Pour se faire confirmer mes explications sur le mandat donné et par conséquent la  prise des honoraires par l‘assurance, Me C.W. a aussitôt demandé le jour même par fax, l‘accord écrit de l‘assurance sur le mandat. L‘A.M.E. lui  a confirmé par retour de fax l‘information que la protection juridique m‘était bien accordée par mon contrat d‘assurance. Mais elle a renseigné Me C.W. également et très précis, quelle avait chargé Me X de la défense de ses propres intérêts. Ainsi Me C.W.  aurait à se constituer uniquement pour ma personne.

Me C.W. semblait connaître le plafond lié à mon contrat d‘assurance, puisqu‘il ne s‘est jamais renseigné à ce sujet. De toute façon, il aurait dû savoir que tous les contrats „protection juridique“ comportent un plafond d‘intervention, qu‘il lui était loisible de connaître sur simple demande envers l‘assurance ou moi-même.

J‘essaie de faire comprendre, chers lecteurs, que Me C.W.  ne se tenait nullement  au REGLEMENT INTERIEUR DE L’ORDRE DES AVOCATS DU BARREAU DE LUXEMBOURG, qui stipule dans l‘article  Art. 2.4.5.2 que l’avocat fixe ses honoraires en tenant compte de l’importance et du degré de difficulté de l’affaire, du travail fourni par lui-même ou par d’autres avocats de son cabinet, de sa notoriété et de son expérience professionnelle, du résultat obtenu et de la situation de fortune de son mandant. En savant qu‘il n‘y avait à l‘époque  rien du tout à prendre chez moi  et en connaissance des frais de tels procès, il aurait même dû renoncer à l‘affaire. J‘essaie ainsi de prouver que Me C.W. avait déjà en 1995 l‘intention de s‘enrichir de l‘indemnisation future dans l‘affaire contre le constructeur de notre maison.

L’omission de Me C.W. de se  renseigner sur le plafond du contrat d‘assurances est essentiel au présent litige.

Contrairement à son mandat, limité à ma seule défense pénale, Me C.W. s‘est décidé de „diriger tout le procès“ (selon ses propres termes écrites) toutefois, sans être mandaté pour cette tâche par moi, ni d‘ailleurs par la Cie d‘assurances. Sans cette prise de direction du procès, la note d‘honoraires aurait été sans aucun doute plus modeste.

Pendant toute la période entre le procès de 1ère instance  et le procès d‘appel, s’étalant sur 5 ans (juin1995-juillet2000), Me C.W. a manqué totalement de m‘informer sur l‘évolution du coût de ses prestations.

De plus, face à l‘étendue de ses travaux Me C.W., ne m‘a jamais fait parvenir de demande de provision, ce qui, pourtant, est d‘usage dans des affaires coûteuses. Ceci me faisait croire qu‘il se tenait à notre convention, ou que ses honoraires se situaient dans le cadre du plafond d‘intervention.

Une seule information sur l‘envergure de ses honoraires m‘aurait fait comprendre que je ne pourrais jamais payer un tel solde. Dans ce cas, voyant que les honoraires allaient au-delà de mes moyens financiers, je lui aurai retiré immédiatement la charge lui confiée.

L‘article 2.4.5.2 sur le règlement intérieur de l‘ordre des avocats stipule que l’avocat fixe ses honoraires en tenant compte de :

A) Degré de l‘importance de l‘affaire.

Dans son courrier du 19.03.2002 vers l‘A.M.E. Me C.W. déclare qu‘il savait fort bien que la compagnie d‘assurances était défendue par son propre avocat X. Toutes les mesures d‘instruction auraient été faites grâce à son intervention. Il reproche à l‘avocat de l‘A.M.E. de s‘être rapportée en totalité à ses conclusions. (Or, je suis d‘avis que Me C.W. a dépassé largement son mandat lui confié par moi même, qui était de me défendre seulement en deuxième rang et pénalement.)

Le degré de l‘importance se mesure aussi dans un des paragraphes suivants de la même lettre (je cite): Je peux donc affirmer que le travail acharné que j‘ai fourni a surtout servi les intérêts de votre compagnie d‘assurances, puisque de toute façon, Monsieur R.S. (moi même) n‘aurait jamais été confronté au fait de devoir débourser un seul franc de sa poche ….. si l‘affaire avait mal tourné c‘est la compagnie d‘assurances qui aurait dû payer, et non pas Monsieur R. S.. Suite à cette déclaration, Me C.W. avoue le fait de s‘être acharné à l‘encontre de son mandat en premier lieu et surtout pour la compagnie d‘assurance, vu que son client ne risquait vraiment rien du tout;

B) Degré de difficulté de l‘affaire. 

La partie adverse est toujours restée dans la totale  impossibilité d‘amener la moindre preuve de l‘implication de ma personne dans la réalisation de leur dommage. A défaut de preuve depuis le début de ce dossier, cette affaire ne présentait guère de difficulté même si la partie adverse se plut à prolonger la procédure afin de défendre son client. L‘affaire ne présentait que peu de difficultés en soi. Me X défendait les intérêts civils de la Cie d‘assurances et, par conséquent, seul le volet pénal de ce dossier pouvait concerner Me C.W.

C) Travail fourni par l‘avocat.  

Le travail fourni par Me C.W. était d‘une qualité normale mais largement au-dessus  du travail demandé. Il savait qu‘il n‘avait pas été mandaté pour diriger ce procès civil, mais il se précipitait pour le diriger, selon ses propres et multiples écrits dans l‘intérêt unique de l‘assurance.

D) Notoriété et expérience professionnelle.

Face à l’expérience professionnelle de Me C.W., son comportement de non-information de son client sur l‘évolution de ses honoraires au fil du travail investi, ainsi que l’omission de demander des provisions adéquates est inacceptable et ne reflète pas un comportement bienveillant et de transparence à l‘égard de son client.

E) Résultat obtenu.

La demande du requérant adverse (motocycliste accidenté) a été déclarée non fondée par le tribunal et en déboutait.

Ce résultat très positif pour la compagnie d‘assurances était totalement désastreux pour moi car en tant qu’automobiliste de passage devenu témoin d’accident je me suis retrouvé  prévenu devant le tribunal et étais obligé de débourser beaucoup d’argent pour ma défense.

Alors que, (selon les propres écrits de Me C.W. je ne risquais pas dans cette affaire de devoir débourser un seul euro, même en cas d‘une défaite, je suis désormais confronté à une note d‘honoraires  extrêmement élevée  et impayable par mes soins. Sous les menaces écrites de Me C.W. j‘ai été obligé de lui verser en décembre 2011 la somme de € 10.000.

F) Situation de fortune du mandant.  

Pour mémoire

Affaire contre le constructeur de notre maison

Depuis 1991, Me C.W. nous représentait dans une autre affaire civile qui datait de 1990. Nous avions acheté une maison neuve, laquelle, après finition, présentait de nombreuses malfaçons et un dédommagement était à prévoir. Ce dédommagement représentait plus ou moins la somme de € 20.000 par personne, pour mon ex-épouse et moi.

Sans vouloir accuser Me C.W., je pense que celui-ci  avait l‘idée, dès le début de la présente affaire de circulation, de s‘emparer de la partie me revenant du dédommagement..

Le 12 juillet 2000 la cour d‘appel confirme le 1er jugement du 23 avril 1999 et déclare non fondée la demande du motocycliste réquérant.

Le 31.01.2002 Me C.W. envoie son mémoire d‘honoraires à mon assurance.

Ce n‘est qu‘en mars 2002 que Me C.W. m‘envoyait une copie de son mémoire d‘honoraires adressé à l‘assurance. Celui-ci s‘élevait à la somme restante de 26.307,85 €, c‘est à dire plus que 7 fois le plafond de mon contrat d‘assurance. Face au mémoire d‘honoraires hautement exagéré, la compagnie d‘assurance informait Me C.W. du plafond de ma garantie, qui était de LUF 150.000 LUF ( € 3.700 ).

Reste à préciser que le montant perçu par l’avocat X de l’assurance, ne s‘élevait pour prestations identiques qu‘au montant de € 8.340,33.

La compagnie d‘assurances étant le principal usufruitier dans le procès et je ne pouvais accepter que Me C.W. puisse exiger que je lui paie des honoraires s‘élevant au triple des honoraires perçus par l’avocat de l’assurance et quasi dirigeant le procés. 

Depuis, Me C.W. me harcelait dans plusieurs écrits du fait  qu‘il ne peut pas se satisfaire avec ce montant, ridiculement bas de LUF 150.000 (3.718,00€) face à un enjeu de LUF 30 millions, réclamé par la partie adverse.

Dans cette affaire j‘étais destinataire le 04.02.2003 d’un dernier courrier de Me C.W. pour une longue période de plus de cinq ans et demi. Dans ce courrier il s‘empresse  à  nouveau d‘attirer l‘attention sur le fait du résultat obtenu et au regard de l‘enjeu pour l‘assureur.

G) Intention frauduleuse.

Ce n‘est que de nouveau 5 ans et demi plus tard, le 14.07.2008, que je recevais de nouveau un courrier de Me C.W. qui mentionnait,  je cite „avec un certain retard, mais qui est voulu“.

Ainsi il reconnaît maintenant formellement par écrit son intention (depuis son dernier courrier en 2003) de pouvoir se régler sur la somme qui me reviendra dans  l‘autre dossier immobilieret ainsi de s‘enrichir frauduleusement de cette somme.

Par aucun mot il nous fait savoir qu‘il était, à ce moment là, déjà en possession du montant principal des sommes dans l‘affaire immobilière.

Ainsi je suppose que Me C.W. avait, dès l‘acceptation du mandat en 1995, l‘intention de détourner et de s‘enrichir d’une partie de la somme qui était demandée dans ce procès et qui était due à moi et à mon ex-épouse.

Dans l‘affaire immobilière Me C.W. avait déjà reçu en date du 28.05.2008 le principal du dédommagement, à savoir a somme de € 21.645,93. Pendant plus de trois ans, exactement jusqu‘au 30 juin 2011, Me C.W. a omis de nous renseigner sur la réception de ce montant, tandis qu‘il avait l‘obligation de nous le verser directement.

Ceci constitue une faute majeure et très lourde pour un avocat qui est censé de renseigner ses clients directement sur les fonds entrants.

Ce n‘est que en 2009, mes propres investigations auprès du constructeur de notre maison ont éclairci ce mode d‘opération et ont prouvé que Me C.W.  était depuis plus de trois ans en possession de cette somme importante. Ce n’est que suite à ma plainte du 30.06.2011 auprès de Monsieur le Procureur d‘Etat que Me C.W. nous informait et nous virait l‘argent qui nous était dû, avec un retard de plus de trois ans.

Son intention, depuis  son mandat dans cette affaire en 1995  et sa proposition de garder la somme qui m‘était due en totalité, constituent un motif suffisant à ses manquements, à savoir: 

1) de ne pas demander le plafond de la garantie de mon contrat  d‘assurance ;

2) de ne pas demander une provision (ce qui m’aurait amené de mettre fin à son mandat).

Pour mon assureur la question sur les honoraires était bien terminée. Quant à moi, je n‘ai jamais, jusqu’au moment de sa proposition frauduleuse en 2008, été confronté à une demande de paiement d‘honoraires.

Le 19 novembre 2011, toujours sous ses menaces d‘une saisie, je lui proposais de trouver finalement un arrangement.  En désappréciant le fait d‘avoir saisi le Parquet d‘une plainte à son encontre (somme détournée) il me demande maintenant le montant intégral sans aucune déduction.

Sous ses fortes menaces de saisie sur ma rente mensuelle je lui ai versé en décembre 2011 la somme de 10.000,00 €, avec la mention „sous toutes réserves et sans approbation quant au montant redû qui reste contesté“.

Ensuite à la date du 15 mars 2012 Me C.W.  a posé une requête devant le juge des référés à Luxembourg, afin d’obtenir encore une somme manquante de 16.307,85 €. Rappelez vous que C.W. avait déja recu sur menaces la somme de 13.700,00 €.

Dans mon contredit j’ai  demandé au Tribunal  de bien vouloir apprécier les faits suivants:

  • l‘acceptation de mon mandat par Me C.W. en connaissance de ma situation de fortune extrêmement délicate au moment de la prise du mandat;
  • l’omission de Me C.W. de se renseigner sur le plafond de mon contrat d‘assurances; 
  • l’omission de Me C.W. de m’informer pendant le procès sur l‘évolution du montant de ses prestations; 
  • l’omission de Me C.W. de m‘avoir demandé des provisions en temps utile; 
  • le comportement de non-transparence de Me C.W. envers son client; 
  • le degré de moindre-importance de l‘affaire pour son client; 
  • le degré de non-difficulté de cette affaire et le fait de la totale  impossibilité d‘amener la moindre preuve de l‘implication de ma personne; 
  • le travail fourni par Me C.W. par rapport au mandat limité par son client et l‘assurance afin de se limiter uniquement au pénal; 
  • l’omission par Me C.W. de demander une indemnisation de procédure en première instance; 
  • les erreurs mathématiques de Me C.W. dans l’établissement de son décompte;
  • _____________________________________________________________En avance je vous remercie de votre aide, de vos observations et conseils éventuels dans cette affaire.

Über Robert E. Steinmetz

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7 Antworten zu Vum egenen Affekot gebicht. Dans les griffes de son propre avocat .

  1. raym schreibt:

    Handeld et sech heibai em den Affekot Wassenich Claude? Desen hued net d’bescht Réputatioun.

    • sheriffstone schreibt:

      Dad darf ech leider net hei um Internet beäntwerten,vier keng weider Problemer ze kréien.

      • Mangen schreibt:

        Moien

        ech sin an esou engem ähnleche Fall.
        Firwat hut dir aer Saach demols net dem batonnier gin?

      • sheriffstone schreibt:

        Bonjour Herr Mangen,
        Ech hun déi Sach selbstverständlech un den Bâtonnier gin. Dösen hued eng Afekotin bestömmt déi sech der Saach sollt unhuelen. Ech sin dann mam Afekot W. bei des Mme viergelueden gin, do hu se dann zu 2 op mech geklappt. Ergo, den Bâtonnier hued dem Afekot W. vollkommen Recht gin. Den Afekot W. hued duerno direkt probéiert iwer den Schnellrichter de Rescht vum Geld anzedreiwen. Iwer DAS hun ech mir eng onparteiesch Afekotin geholl, a selwer en ganz fondeierten Dossier zesummen gestallt. Mad desem Dossier as den Afekot W. vum Schnellrichter ofgewisen gin. Soumad hued d’Sach nach en eenergermossen gudd Enn gehol. Ech hun em Afekot W. allerdengs 10.000 € ze vill iwerwisen, déi ech net méi zereck kréien.
        Mad beschte Gréiss

  2. Mangen schreibt:

    Moien
    ech geif geren mat iech mei iwer dei Saach schwetzen, awer net iwert desen effentleche Wee. Eis Affaire as nach emmer net zu Enn, obwuel jo eigentlech alles kloer bewiesen as. Dofir muss ech obpassen wat ech hei schreifen well ech drauen denen net mei, filen mech nach just verarscht. MbG

  3. HOFFMANN schreibt:

    Bonsoir,

    Ech hun aer „Geschicht“ gelies an dei dei ass mei wei schlemm !
    Leider sin och ech an dém Affekot seng „Griffen“ gefall an den CW woell och vun mir Honoraren dei en net ze gudd huet .
    Ech hun en plus vun énger anerer Persoun gesôt kritt dass se vum CW abuseiert gin ass …
    Wann Dir woellt, dann mellt iech, well sou wieren zu emmer mei fir eis Rechter duerch ze setzen .
    Merci am viraus an leiw Greiss

    • sheriffstone schreibt:

      Bonsoir Mme Hoffmann. Dat deed mir leed, wann dir och an deemselwechten Affekot seng Griffen gefall sit. Ech selwer hun mat der Affär ofgeschloss, an t’geet mir duer wann d’Leit meng Geschicht liesen, an domat sain Image vir ömmer an ewech besuddelt as. (Och wann sai Numm mnet explizit do steet) Ech gin net méi an den Knascht wullen, well een de Kierzeren zit.
      Mat léiwe Gréiss
      Robert

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